une peme:
le cheval cours le long des rivière avec sa princesse endiablée dessus
elle sourie, son sourire suit la trace du vent
ses cheveux ondulent le long de mon bras, mais lorsque je souhaite les aggriper, ils ne sont plus
est elle une illusion
Son reflet dans l'eau, me fait frissoner de bonheur, sa joie et sa bonne humeur 'enchante
son cheval blanc est dans la prarie, il la suit, en attendant qu'elle se trouve un cavalier
ce cheva a une cavaliere qui attend son cavalier
son prince charmant, en esperant qu'il arrive un jour, ses larmes coulent et se noient dans le fleur dans lequel son cheval boit, il boit les lèvres de sa cavaliere, ses larmes mouillent ses cheveux, qui perdent leur bouclent, peu à peu, l'éclat du solei dans ces cheveux se dissipe pour faiure place a la douleur et la pureté de la lune, qui ne lui veut aucun al, à peine le soleil se couche, que la lune protège sa prétégée, la lune la caresse, la lune se relftte sur sa peau de céramique, elle se promène et danse de joie
elle est cez qu'il existe de plus pure sur cette terre, l'innonceence même, lapurte la douceur je vais bosser à md do
je vous aime tellement, vous toi, laurie et marieme qui je ne vois plus, que j'en suis triste
j'en souffre malgrès la facade de béton, les larmes pourrait se délivrer de leur enclot, si vous n'arrivez pas
Chaque jours est un fardot sans vous, chaque jours est plus lourd...
Séverine, il y a tant de chose à dire, ton sourire m'apaise, me protège, noyre souffrance nous as raprochée, elle nous à permie de soulager, et d'apaiser nos maux de coeur, tu m'as soignée, tu as cotérisée mesplaie, tu m'as emené dans un monde ou le malheur n'est qu'une petit goutte d'eau qui coulent de temps en temps de long de ta joue, mais il n'atteind jamais le coeur. Le malheur superficiel, celui qui n'as pas accès a notre profond, à ce que nous sommes, ce qui nous permet de vivre.
Le malheur est noir, d'une noirceuse innomable, il pnettre la ou il se plait d'aller, il s'instale et s'encre, lorsqu'il est encré, il est si dur a enlever, si dur à faire partie, et impossible à efacer. Que serait le bonheur sans le makheur? Saurions nous que nous coulons de paisible jours si les nuages noir ne venaient recouvrir de temps à autre notre ciel?